Si la promenade libre et non contrôlée durant toute une nuit n’est plus possible dans le contexte actuel, le C.I.Q lance un appel à initiatives pour « 2020, un été particulier à La Roquette »
Le Conseil d’Administration du C.I.Q. de La Roquette (comité de quartier) s’est réuni mardi 5 mai (en plein air et en respectant les règles sanitaires entre nous) et a décidé d’annuler la Nuit de la Roquette 2020, prévue le 2 juillet, pendant la semaine d’ouverture des Rencontres d’Arles. Il nous est apparu impossible d’organiser ce rendez-vous culturel et convivial qui attire chaque année pendant toute la nuit des milliers d’arlésien.ne.s, de visiteurs et visiteuses qui déambulent librement, en famille, de porte en porte, de rue en rue, de place en impasse, au gré des initiatives préparées par les habitant.e.s du quartier. Le CIQ de la Roquette n’a pas renoncé pour autant à toute expression culturelle et populaire dans le quartier pour l’été 2020. Si la promenade libre et non contrôlée durant toute une nuit n’est plus possible dans le contexte actuel, le C.I.Q lance un appel à initiatives pour « 2020, un été particulier à La Roquette » : pas-de-porte, façades, vitrines, fenêtres, peuvent devenir des supports d’affichage libre pour raconter, exprimer, par le texte, l’image, la vidéo, et autres modes d’expression, ce que cette période a été, et est encore, pour chacun.e de nous. En respectant les consignes sanitaires en vigueur pour le confinement, La Roquette, quartier du centre-ville, demeure un collectif d’habitant.e.s qui a des choses à dire sur la période actuelle, la culture, la création artistique, sur le vivre ensemble par temps de crise. L’article de La Provence du 9 mai 2020 reprenant les termes de la lettre ouverte de Nicolas Koukas, adjoint au maire d’Arles dans l’équipe municipale sortante, invitant à des initiatives citoyennes, nous amène à vous communiquer l’appel que le C.I.Q de la Roquette fera prochainement sous forme d’affiche et de tracts (flyers) dans le quartier. « 2020, un été particulier à La Roquette ». Alain Othnin-Girard, Président du CIQ de La Roquette
Les portraits Abymés reviennent !
C'est une place, une place sans nom, nichée dans la rue de la roquette. Là , trône un olivier, un petit puit délaissé et quelques plantes éparses. "Les portraits abymés" est une installation visuelle et sonore mettant en scène ce paysage, croqué sous tout les angles, dans une métamorphose permanente mélant réel et imaginaire"
Relations corporelles. À soi-même et aux autres.
Quelle est la relation de chacun.e à son propre corps ?
Comment chaque corps s'exprime ? Avec quels gestes ? Quelle amplitude ? Quelles courbes ?
Toutes ces questions sont posées là et chaque personne y répond intuitivement, à sa propre manière.
Un corps comme un corps. Une main posée ici ou là.
Dans une danse avec la flore.
une route pleine de surprise...
A 7h de route de la capitale, en descendant par la nationale 7, je suis arrivé dans cette ville Malgache, Ambrosita. Cette ville est réputé pour sa tradition de l'artisanat dans le bois, et en particulier la marqueterie. C'est dailleurs pour cela que j'y suis venu en stage. J'y est découvert tellement plus. Cette ville paisible et vivante semble hors du temps, et est une jolie porte d'entrée dans la culture malgache.
Armée d'un appareil photo jetable, Voici mes impressions de ce voyage riche
Miss Yellowdog - Splendide panne – 2019 – Objet installation
Chercher et ne pas trouver
Fouiller et retrouver
On va y arriver
"Jiu-fen" by Axel Gallois
Taïwan, mythes et réalités Cette exposition nous invite à voyager à Taïwan, « le cœur de l’Asie », et tend à mettre en relation le passé et le présent, la nature et le béton, les héritages d’un passé colonial et l’âme résolument asiatique. La photographie permet de souligner ces cohabitations et laisse à l’observateur le temps de réfléchir à leur incongruité et leur bien-fondé.
Chaque photographie se focalise sur un élément de la palette des couleurs de l’Asie, entre autres le gris des villes immenses, le vert brut de la nature tropicale ou le rouge chaud des lanternes.
"Concrete Jungle" by Estelle, Ruei-Jen Wu
Au Large de la Roquette, un Totem de Son et de Lumière, Regards sur le Désir et l’Espoir Place Genive, au Large...
"Un totem de lumière" Scénographie Son & Lumière de Rêve Lucide. "Gracias a la Vida" Photographies de Guy Delaunay, Guide de Haute Montagne. "Vacances Civilisées" Photographismes de Lauranne le Clech, Etudiante au MOPA. "Cosmic Dreams" Illustrations de June, Illustratrice.
Les photographes du collectif marseillais Pose37 ont travaillé collectivement sur le thème de l’absence. Les images de chaque photographe sont accompagnées des textes de l’autrice, Mathilde FONVILLARS. Déclinant la notion d’absence, les mots créent un écho entre les différents regards. Pour cette proposition, Orianne OLIVE accompagnera les photographes de Pose 37. La soirée sera aussi l'occasion de lancer le premier fanzine édité par Lose Control (à l'achat sur place).
Retrouvez nous au 36 boulevard Clémenceau, pour la projection, mais aussi dans la laverie attenante pour une immersion dans notre univers !
Photographes : Cyril BECQUART - Damien CHAMCIRKAN - Florent DURAND - Yasmina KHADHRAOUI -Vanessa KUZAY - Christian MARTIN - Florence RYK et Orianne OLIVE
Projection et expo 26 rue Croix Rouge
L'une dans la garrigue gardoise, l'autre dans la minéralité des villes du sud, chacun observe l'autochtone...de très prés ; et derrière une fleur multicolore ou au détours d'une ruelle éclatée de soleil on croise Huggy le biker, Scarabéface et son vide intérieur, la princesse Padmée ou l'étrange et furtive femme imaginée par Dashiel Hammet. Sur une terrasse plantée d'oliviers ou une terrasse de bistrot, D-J Bugsy sévit, Happy Eddy happy, un perroquet chronique "to be or not to be" et une demoiselle se refait une beauté. Le regard croisé et oblique de deux photographes où le conte et la légende urbaine se tutoient dans une quête acharnée d'humanité.
UNVOID Video Installation, 58:07 min, color Dimensions variable (edition of 1 + 1 AP) Courtesy Stijn Ank & Galerie Michael Janssen, Berlin Extract: https://vimeo.com/151499663
What happens between the time when there is practically nothing, and the emergence of something that is definite or definable? What happens between the conception of an idea, before the idea as such exists, and the actual realization of the idea? What are the hidden processes at work during creation? What is the nature of the creative process? UNVOID is one of many possible answers to those questions. It shows what goes on from the inaugural instant - the moment when matter is still out of the picture - to the emergence of a work of art. UNVOID is the revelation of what happens before matter emerges as, or condenses into a tangible thing. Sculptures that are cast in closed molds remain mute about the creative process from which they originate. The use of a cabinet with one glass side, a side that acts as a border between what happens inside and what goes on outside, offers the opportunity to disclose the process itself. What happens inside the cabinet, which is a coincidental enclosure, just like the universe, now catches our eye. We see that there is no actual result but the process itself. What's more, we see that matter, pure and poor as it may be, while it appears from nowhere, has a will of its own, taking a course that cannot be controlled.
une formidable sélection d'artistes éclectiques et électriques!
Demandez le programme!
Pour sa 16e édition dans le cadre des Rencontres d’Arles, Regards & Mémoires et GRISART (Ecole Internationale de la Photographie de Barcelone) s’associent pour présenter les projets photographiques de la nouvelle génération d’auteurs issus de l’école GRISART.
Auteurs présentés : Bourse du Travail (du 1 au 7 juillet) :Anna Galí, Time on Quaaludes and Red Wine Mercredi 3 juillet : présentation du festival Panoramic par Joan Foncuberta Vendredi 5 juillet : dialogue avec Anna GalÎ et Israel Ariǹo
Bar le Sarto (du 1 juillet au 30 août) : Simone Coutino, Mejor que los colores de Peñarol
__Rue de la Roquette : photographies sur banderoles : Anna GalÎ / Anna Zaragoza / Duna Vallès / Flavio Edrera / Jean-Matthieu Gosselin / Laurent Perrot / Mateo Giuliana / Ullic Narducci__
Nuit de la Roquette : projection bar le Sarto Vendredi 5 juillet : vernissages Bourse du Travail (18h30) et bar le Sarto (19h30) Samedi 6 juillet (20h) : repas rue Croix Rouge, ouvert à tous
Préservation de la Planète (In situ 1.4)
Le travail photographique "REFUGE--ES" de MoniKa Ruiz-B, plonge dans une exploration candide et en même temps éloquente de la tragédie malheureuse de la guerre vécue par les réfugiés d'Afrique du Nord. L'exode massif de milliers d'êtres humains sans défense, pris au milieu du conflit et forcés de fuir dans une perdition erratique, trouve une lueur naissante d'espoir sur les côtes européennes, sans pour autant laisser derrière eux les problèmes géopolitiques et humanitaires. "REFUGE--ES" est une voix silencieuse qui nous rappelle l'angoisse et la souffrance de ces frères, habitants d'un monde souvent ignoré, qui ne cherchent qu'un peu de paix. Collage au 11 Rue Elie Giraud.
Il s’agit de proposer des portraits d’Arles à travers les rues de la Roquette qui viendront dialoguer avec d’autres espaces urbains, de Paris à NewYork en passant par l’hiver berlinois.
OEILDEEP soutient, forme et accompagne des photographes-auteurs, professionnels ou amateurs, dont le talent est nourri par une compréhension approfondie du processus de création.` Après 6 mois de Masterclass dirigée par des experts reconnus, OEILDEEP projette les réalisations de ses participants : Laetitia D’Aboville, Alexandra Dreyfus, Youssef Khalil, Marcelo Korp, Fred Le Biez, Andrea Mantovani, Luciano Marino, Odile Meylan, Anthony Micallef, Guillaume Murat, Cécile Nauthon, Sylvie Pennanech, Manel Quiros. Rendez-vous rue Parade à partir de 22h ! www.oeildeep.com
Je suis plurielle, d’ici et d’ailleurs, à l’image de mes origines familiales méditerranéennes. Ma seule nation est le dessin. Il est depuis toujours un refuge pour moi, un lieu sûr où je peux m’exprimer. Le Cri de la Tortue est mon nom d’artiste. La tortue est mon ambassadrice, elle est mon incarnation métamorphosée. Cet animal plein de sagesse, je m’en suis fait un blason, une seconde peau. Sa carapace est un bouclier derrière lequel je me cache pour crier. Je crie par mon dessin au travers de lignes fortes presque schématiques pour être bien entendu. Pour conserver ce trait brut, j’utilise la gravure sur linoléum ou sur bois, graver dans ces matériaux me permet de trouver un rendu puissant, sorti directement de la matière.
JE VOUDRAIS VOUS PARLER D'HELENE est une performance poétique textuelle d'une durée maximum de 8 min. C'est très simple, il vous suffira de venir seul.e vous asseoir auprès de moi et je vous parlerai d'elle. C'est une sorte de rendez-vous poétique dans lequel Hélène prendra vie dans mes mots, peut-être est-ce dans vos yeux, dans votre présence et votre écoute que je la retrouverai.
"C'est ton visage qui se rassis hélène et mes yeux gonflent. mais mange. mange les doigts dans la bouche, le souffle lent, l'haleine cave dans son triste parfum. mange, je ne te regarderai pas hélène. hélène à force de mourir tu vas mourir et je ne serai plus là. hélène sans manger, hélène sans parler, elle ne sait que sourire."
Hélène est née fin avril 2019 sur Facebook. Elle est venue s'installer dans mes mots, comme une obsession. C'est avec vous que je m'en délivrerai.
(dans la cour de l'école Jean Buon, accès place St Césaire)
"La beauté se regarde, la beauté se lit, la beauté se cultive. La beauté nous illumine. La beauté nous relie à l’instant présent, à la joie et à une connexion au monde. Ces images ont été prises dans des moments d’attente, là où la beauté nous suspend dans le temps. Dans cette attente, le temps disparaît, la patience naît. Dans la patience, nous cultivons, nous nous retrouvons avec nous-mêmes et libres à nous de cultiver du beau. Un jardin coloré. Attendre un train, dans ce temps d’attente, ne plus rien attendre." Sophie Muret www.sophiemuretphotography.com www.hirondelledesquais.fr
Cette recherche a démarré , il y a quelques années. Une envie irrésistible de photographier des matières Mon gout pour la matière m'a permis de tester nombre d'effets de lumière et d'ambiance qui rendent mon travail photographique singulier
Ce qui a fait naitre une série de paysages urbains et de paysages maritimes.
photos sur le Mur au 95 quai de la roquette
Studio photo utilisant une technique du 19 em siècle sur plaque en fer.
"In Situ 1.4" du 28 juin au 30 septembre 2019, Exposition en centre-ville d'Arles (voir le programme détaillé dans le communiqué et le dossier de presse) « In Situ » constitue un véritable laboratoire dédié à la création plastique contemporaine, centré sur la recherche artistique expérimentale. Cette structure flexible, nomade, largement tournée vers la jeune création, se veut un repère attractif. Mêlant Land Art et Street art, « In Situ » présente la particularité de créer des passerelles entre environnement naturel et espace urbain.
Bonjour, L'association Rêve Lucide vous présente un événement unique et hors du commun qui va vous immerger dans un fracassant rêve éveillé. Constitué d'un mélange de prestations sonores et visuelles, créations plastiques mouvantes accompagnées d'un don quichottesque instant théâtral !
Cet événement convient pour tous les membres de la famille, âgées ou nourrissons (ramenez vos pistolets à eau ! NÉCESSAIRE, INDISPENSABLE, CAPITAL !!)
Pour les plus motivés vous pouvez ramener vos lampes de chevet pour une construction kafkaïenne renversante.
Pour satisfaire votre vue nous aurons la chance de vous présenter un GRAND mapping vidéo sur une tour vielle de 650 ans, composé de plusieurs artistes pour un magnifique rêve complètement lucide qui vous mènera dans maints endroits et univers. Le tout avec une série de groupes et artistes solos qui vous enivrerons dans leurs univers musicaux divers et variés ...
LINE-UP SONORE :
19h : Banagoa
20h : (MIX) Cortex 057
21h : Mimitraillette
22h : Les Faux Sceptiques
22h45 : SILEO
00h : (MIX) Okyn TRK
01h : (MIX) Rido TRK
Rendez vous au pied de la tour le 5 juillet à partir de 19h les amis !
Voici notre page facebook si vous voulez mieux nous connaitre !
https://www.facebook.com/Association-R%C3%AAve-lucide-344738552628449/
Sous vide/dans le vide, quelque chose se trame dans et sous la rue de la roquette, en face au 18, à la tombée de la nuit. Un vidéo-mapping sur structures monumentales, par Flshka design.
Paha Sapa Exposition de photographies noir et blanc avec réhauts à l’encre de Chine de Blaise Adilon Au 36Arles du 30 juin au 8 juillet (15h30-19h30) Projection dans le cadre de la nuit de la Roquette le 5 juillet à de 22h à minuit
Paha Sapa (Les noires montagnes sacrées en langue Lakota) est une invitation à entrer dans le paysage, spirituelle, et presque chamanique. L’artiste utilise le matériau du peintre, l’encre de Chine, appliqué au pinceau sur le tirage photographique. Paha Sapa est un creuset rassemblant des paysages immémoriaux, leur pouvoir d’évocation, et quelque chose comme un geste sacré, un écho méditatif
http://le36arles.canalblog.com
Photographies de François-Marie Périer suivie d'un échange avec le photographe Photographs of François-Marie Périer followed by an encounter with the photographer
jeudi 5 juillet 201820h30, 22h30, Minuit Église Saint Césaire, 1-3 place Saint-Cézaire, La Roquette, Arles
En quelques décennies, au Ier siècle de notre ère, depuis le Proche-Orient, les premiers Chrétiens répandirent pacifiquement leur foi et leur espérance dans un espace allant du monde indien aux terres celtiques: route de la Soie, route des épices, route de l'étain, Empire romain, royaumes orientaux indo-grecs de l'ancien Empire d'Alexandre, Extrême-sud de la péninsule indienne, Provence... Hommes, arts, lieux de cultes et de pèlerinages, sites sacrés ou archéologiques, légendes et paysages portent encore aujourd'hui les traces de leurs voyages, mêlées à celles des siècles et des peuples, au milieu d'une Histoire qui continue de s'écrire dans la beauté ou le drame.
''In a few decades, during the 1st century CE, from the Middle-East, the Early Christians spread peacefully their faith and their hope in a space extending from the Indian world to the Celtic lands: Silk Road, Spice Route, Tin route, Roman Empire, oriental indo-greek kingdoms, remnants of Alexander's Empire, deep south of the Indian peninsula, Provence... People, arts, places of cults and pilgrimages, holy or archeological sites, legends and landscapes still witness today the traces of their trips, mixed with the still going on History of men, through beauty and drama. ''
L'équipe de DEUXbis et ses invités participent à la Nuit de la Roquette avec la proposition INT/EXT-nuit. Les travaux des artistes Driss Aroussi, Flore Gaulmier, Karine Maussière, Novella Oliana, Pierryl Peytavi et Pauliina Salminen seront projetés du crépuscule jusqu'au coeur de la nuit. Il s'agira des photos, vidéos et un dispositif scan-écran développé par Driss. Nous sommes accueillis par Céline à 17 rue Granaud et vous invitons à venir boire un verre, grignoter, vous poser avec nous pour profiter de cette belle soirée.
"LUMIERE, OEIL ET MATIERE" est notre point de vue sur l'ontologie de la photographie.
vidéo, 2017 durée : 4,45 min artiste : Novella Oliana
Au numéro 34 du plan de la NDLR, avec la Galerie Deux bis en projection au 17 rue Granaud
FR J’explore différents possibilités d’interaction avec l’espace complexe de la Méditerranée : je manipule une image de la mer que j’ai téléchargé sur Internet et imprimé sur papier. Je reflet sur des nouvelles représentation de la mer Méditerranée que je considère un territoire, un lieu d’expérimentation et transformation. Mes geste sont emblématiques : je représente la duplicité entre connexion et séparation qui caractérise cette portion d’espace aquatique qui est à la fois frontière et chemin de rencontre. Le fil à coudre connecte different parties en gardant leur distance. Cela est aussi une métaphore des relations que chaque contexte socio-culturel engendre et qui sont très interessantes à observer dans un milieu complexe et transformante comme celui de la Méditerranée. Mon but est également de reflechir sur la photographie contemporaine en tant que processus de recherche et œuvre ouverte qui peut soulever des questions, au lieu de donner réponses ou représentations fixes.
EMMAGALERIE Présentation de quelques séries prises durant plusieurs saisons de rencontres arlésiennes. Exposition de trois wallpapers : -Comment s’en sortir ? -La tour en chantier -Perdus de vue (expo à voir dans la maison du 2 rue des Douaniers et également à l’extérieur devant la maison sous forme de diaporama) Emma Othenin-Girard
Venez découvrir le lightpainting à la Place St Césaire.
Faites vous peindre le portrait en lumière par l'artiste ATB ART.
Une technique photographique en pose longue, des effets lumineux avec divers pinceaux de lumière, un moment magique et une expérience unique durant lesquels vous êtes le modèle.
Il vous accueillira de 19 h à 21 h / 21 h 30 à 23 h 30 / 0 h à 2 h .
www.facebook.com/ATB.ART.MP www.instagram/_atb_art_
Ma série " Corpsica " (15 Polaroids SX-70) porte un regard subjectif sur l'architecture du corps humain. J'aime jouer sur l'ambiguïté des formes, modeler les perceptions du réel. Les différents cadrages engendrent une vision abstraite. Par des mises en scène oniriques, mes Polaroids questionnent les représentations du réel.
Contacts : clotildenoblet@gmail.com / FB : Clotilde Polaroid Photography
Numéro 11 : l’Hirondelle des Quais, 75 bis quai de la Roquette, 13200 Arles
Projection de dix séries de photos qui ont toutes pour fil directeur la beauté. Au travers de ses voyages, ou dans son quotidien, le photographe nous montre son regard sur le monde. Un monde de détails travaillés ou de situations dans lesquelles l’appareil s’efface et laisse place à l’instant.
Vous pouvez suivre son travail sur Flicker : https://www.flickr.com/photos/136622273@N03/
...par Françoise Lafaye et Maurice Tardieu.
Des trames qui se tissent
S’y laisser prendre
De drôles de Belles
De drôles de Bêtes
De drôles d’Histoires
Puis repartir
Les toiles en tête ...
Rires, éclats
De mots, de sons,
A partager
Dans la Roquette
Impasse Senebier à 21 h et cour de l’école du cloître à 23 h ...
Ça se trame aussi ici !
Exposition d'art textile au 6 rue de l'équerre
Quelques années à déplier et replier des mètres de tissus,afin de créer des costumes moyenâgeux et XVIII siècle et autres falbalas, et je me suis trouver à tourner en rond. J'ai donc décidé, un jour , de faire comme nos grand-mères brodeuses, de faire du fond échelle. De fil tiré, appliqué sur un tissus neutre, broderie. De tissus frangé, ajouré et quelque peut trituré, l'écriture et venue naturellement au cours d'un stage shitsu et création textile lors de stage avec Isabelle Nysenn et Christine Millerin.
...par Martine CharrièreProjection au square de l'écorchoir à 22h30 et 23 h 45
Clin d'oeil aux fameux albums de mon enfance mais revisités avec mes photos : Martine au jardin, Martine à la mer, Les ponts de Martine, Martine à Porto
“Ombres chorégraphiques” et “Pèlerinage des Saintes Maries de la Mer”, avec ces deux projets photographiques que j’expose à la galerie “l’Hirondelle des Quais” N°11, sur l'invitation de Colette Agrain, j’ai le plaisir de rejoindre le tourbillon de la Nuit de la Roquette pour sa 10 ième édition 2018, l’esprit de ce beau quartier et de ses fantastiques quais du Rhône. Un projet qui danse autour de Sarah, princesse des Saintes Maries de la Mer, l’autre qui présente une chorégraphie métissée de la compagnie de “l’Aube Naissante”. Hubert Barre
Numéro 11 : l’Hirondelle des Quais, 75 bis quai de la Roquette, 13200 Arles
Promesse d’une évasion extraordinaire à travers l’imagination de deux artistes lors d'une projection vidéo étonnante hors du temps.
Aline Romao et Eléa Perrin vous transportent dans un voyage fantastique où vous pourrez découvrir des paysages surprenants et poétiques, entre rêve et réalité.
Numéro 11 : L'Hirondelle des quais, 75 bis Quai de la Roquette, Arles
Vous pourrez poursuivre le voyage en vous rendant à l'exposition "Y'a quelqu'un ? ... Ici l'espace", du 2 au 14 juillet, au 55 rue Amédée Pichot, Arles. http://icilespace.com/
"Nous apprenons qu’une apparition, si simple soit-elle (...) exige la mise en œuvre de toute une dramaturgie : il faut une lettre au moins, soit un trésor symbolique, mais capable de disparaître un temps, noyé, toujours là néanmoins, dans le milieu matériel de l’apparition ; il faut un bol, pour que l’apparition s’appuie sur quelque chose, trouve son cadre et ne se disperse pas à vau-l’eau ; il faut un lait, en tout cas un véhicule et un « liant » de l’apparition ; il faut un rai, c’est-à-dire une lumière qui rende tout cela visible, fût-ce pour un bref moment ; et, enfin, il faut un tact, c’est-à-dire un acte corporel capable, comme on l’a vu dans ce film, de bouleverser la surface des choses et de rendre au fond sa puissance d’affleurer sous nos yeux, fût-ce en y faisant tache. Philosophiquement, on pourrait dire qu’à toute apparition il faut sans doute un langage que l’on puisse interloquer sans l’oublier pour autant ; un fond qui s’ouvre soudain ; un milieu matériel qui s’impose alors ; une condition de visibilité pour tout cela ; et, enfin, un corps qui agit, qui se meut, qui fait l’expérience d’une telle apparition. (...) Michelet ne dit pas seulement « lait premier », « lait heureux » (...) il se risque à un formidable montage : laitregard. Il laisse flotter son regard sur un tableau de lactation aperçu dans les galeries du Louvre — c’est La Vierge au coussin vert d’Andrea Solario." (Georges Didi-Huberman à propos d'une œuvre de l'artiste Sarkis, article en entier ici )
Deux jeunes diplômés en photographie (école nationale supérieure des arts décoratifs et école nationale supérieure de photographie d'Arles) proposent des variations autour de formes vivantes, visuelles, mais aussi à travers des performances crues ou cuites, cyanotypes et autres procédés de révélations photographiques. Ces objets constituent des tentatives d'expérimenter la vie même.
Numéro 18 : 10 rue des marbriers
Avec Thomas Vauthier et Fanny Terno
L’utilisation de figurines animales permet à l’auteur de nous interroger sur l’état de tolérance de la diversité humaine (différences de couleur de peau, de cultures) dans le monde actuel ainsi que sur le positionnement de l’homme vis à vis de la nature. Le parti-pris de l’utilisation d’animaux en plastique souligne à quel point la nature a disparu du monde des hommes. La photographe les réintroduit dans un monde hostile, violent, inadapté. Il s’agit d’un monde scindé, en marche vers la destruction, où l’espèce humaine bafoue la nature mais aussi ses propres spécificités. La réflexion et l’action politiques sont remises en cause avec vigueur.
MONIKA RUIZ-B 2mozi.mozi@gmail.com www.behance.net/monikaruizb www.instagram.com/monikaruizb
Le temps qui passe, Le temps perdu, Nostalgie du passé, L’espoir du futur, Calme, Douceur, Paix, Tristesse paradoxale.
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